Rechercher dans ce blog

mardi

ZOFIA RACINES ET DESTIN, LE ROMAN, L'EXPO

UN ROMAN INTERGENERATIONNEL


ZOFIA et MARIE...
CENT ANS LES SEPARENT ap

résumé Marie est étudiante en artspliqués à Toulouse. A la faveur d'un sujet de stylisme, elle entame une plongée dans son histoire familiale et tente de reconstituer le destin de ses arrière-grands-parents, des immigrés polonais arrivés en France dans les années 1920...






L'HISTOIRE DU ROMAN EN IMAGES









DE LA DOCUMENTATION EN IMAGES 
ET DES REPONSES A VOS QUESTIONS!




- Où se situe Straszydle?

- Ce village se situe au Sud-Est de la Pologne, près de Lubenia. Zofia aurait ajouté " au bout du monde"...




Au moment où débute l'histoire, avant la première guerre, la Pologne a été rayée de la carte, Straszydle se situait en Galicie Centrale:





 Quelques images d'archives de la télévision polonaise" Rzeszów dans les années 20"( un grand merci à Ziuk pour ce partage de documents!)







                - Tu regardes Secret d'Histoire? 
- Rarement!



- Qui était Zofia?

- Ma " babcia", ma grand-mère polonaise, elle me racontait inlassablement les épisodes de sa vie et terminait ses récits d’un encourageant: " Tou devrais l'écrrrrirrrre ma vie!", tout ça parce qu'à dix ans, je m'amusais à écrire "les histoires de Nathalie " à la manière du personnage Caroline de Pierre Probst!


         
             


  -Et Walenty? 


- Mon " dziadek", mon grand-père. Je ne l'ai malheureusement pas connu, écrire ce roman a été l'occasion pour moi d'aller à sa rencontre. 



Les voici avec leurs enfants, Ignacy et Stefcia, ma "petite maman":






































Album photos

Je vous invite à découvrir les lieux et les personnages du roman en diaporama.Les photos de la première partie datent de 1968 lors de mon premier séjour en Pologne















- Votre maman a lu le roman?

- Bien sûr! D'ailleurs, elle a été ma première lectrice, je lui ai donné le manuscrit à lire le jour de ses 90 ans. 








            - Le récit est-il fidèle à ce que vos grands-parents ont vécu?


           - J'ai essayé d'être au plus près. J'ai conservé les noms et les prénoms ... enfin, sauf pour les trop nombreux Janek, il a fallu trouver une adaptation!  






           Je connaissais tous les épisodes de la vie de Zofia. Pour cerner Walenty, je me suis appuyée sur ses carnets que ma gand-mère avait précieusement gardés. Quand j'avais un doute, j'appelais Antek, un oncle polonais qui avait écrit ses mémoires et dont la femme, Stasia avait rédigé l'arbre généalogique de la famille. J'ai également sollicité des personnes sur des forums comme Beskid ou pages 14-18 pour certains détails.



Une lettre de Walenty à Zofia



La clarinette et une partition ayant appartenu à Walenty :





Documents du théâtre et photo de la troupe Halka créée par Walenty



Certaines ( et même certains) d'entre vous m'ont dit avoir pleuré à la page 371... 
Walenty a t-il eu un destin aussi tragique? 

      Hélas oui,  voici un extrait de Narodowiec annonçant le décès de Walek ainsi qu'un article paru dans la Voix du Nord. 














Peut-on lire les mémoires d'Antek?


Chaque membre de notre famille a reçu un exemplaire des mémoires d'Antek, y compris ceux qui vivent " au pays d'Astérix" comme il disait. Le tapuscrit comporte une quarantaine de pages et commence par ce chapitre. 



Dans ses mémoires, Antek décrit son enfance et raconte notamment la guerre 39/45 au village. Je me réjouissais de lui montrer que j'avais utilisé certains passages dans Zofia. Malheureusement, il nous a quittés le 26 juillet 2016 alors que la maquette du livre se terminait. 




         La petite église décrite dans le roman existe-t-elle encore?

       Construite en 1739 à Lubenia, l'église en bois  a été entièrement démontée et  reconstruite en 1929 à Straszydle. La voici telle que l'on peut la découvrir aujourd'hui.





 
          - Pourquoi écrire ce texte seulement maintenant?

- Vaste question... Je pense que j'ai toujours su que j'écrirai ce livre mais je ne voulais pas simplement raconter l'histoire de Zofia et de Walenty. C'est quand j'ai eu l'idée de la transmission, du rapport entre les générations que je me suis mise à l'écriture. 







                - Comment as-tu trouvé un éditeur?

             - J'ai découvert les Editions Nord Avril et la place que cette maison d'édition réserve à la Polonité sur le web. C'est le responsable de Nord Avril, monsieur Dufossé qui m'a permis de réaliser ce roman.




              



               - Et Marie? Elle existe?


- Dans le roman, Marie est l'arrière-petite-fille de Zofia, dans la vraie vie, je n'ai pas eu de fille, c'est un personnage totalement fictif. Mais c'est le charme de l'écriture, s'inventer une fille le temps d'un roman...



- En quelle année situez-vous l'histoire de Marie? Parce que le jeunes n'ont pas de smartphone.

- Je dirais vers 2006, cent ans après l'arrêt des études de son arrière-grand-mère. Voilà pourquoi les jeunes ne sont pas très connectés dans le roman...


         - Pourquoi avoir situé l'histoire de Marie de Toulouse à Bagnères-de-Bigorre?


        - Nous avons habité Bagnères de nombreuses années, je garde un souvenir  formidable de la vie au pied des montagnes, de l'ambiance de la ville et de ses habitants . 






 Le personnage du père de Marie, Amédée, m'a été inspiré par un ami qui était camelot. J'avais envie de le faire revivre le temps du récit.





         - Vous avez fait les arts appliqués?


         - Non, les arts plastiques! Beaucoup moins stressant, surtout à l'époque!... 
Mais autour de moi, j'ai vu de nombreux jeunes se lancer dans ces études, d'où le choix de cet univers très particulier.





Une lectrice m'a suggéré de photographier les dentelles de Zofia, les voici!







Et en référence à la jeune Marie du roman,
voici quelques visuels d'un étudiant en Arts Appliqués sur le thème de la dentelle!




- Où peut-on se procurer ce livre?

- Il est disponible ou sur commande dans toutes les librairies ainsi que sur les sites internet ( Furet du Nord, Decitre etc... sauf Amazon ).
Recommandés: 



Bonne lecture!





Pour les salons et rencontres-dédicaces, le programme est à découvrir ici http://haniawork.blogspot.fr/p/blog-page_83.html


L'expo


Le roman, Zofia racines et destin est lié à une exposition de peintures et de vêtements intitulée Korzenie i Przenaczenie, réalisée en Pologne en 2012.





Si lorsque vous traversez un jardin après la pluie et que l'odeur de l'aneth vous enivre instantanément, si la vue d'un bocal de cornichons salés vous fait saliver, que le pavot se marie instantanément dans votre esprit au fromage blanc et que vous appelez une couette une " pierzyna", vous comprendrez la démarche qui m'a animée pour concrétiser ce projet!





Ces dernières années, j'ai pensé qu'il était temps pour moi d'écrire un roman sur mes grands-parents. Mais au lieu de prendre la plume, dans un premier temps, j'ai opté pour les crayons et les pinceaux et je me suis mise à dessiner et à aquareller. 
J'avais en tête des parfums, des instantanés, des mots, des refrains, des couleurs, des pochoirs, des découpages... J'ai collecté patiemment un paquet de souvenirs et d'émotions que j'ai mis en forme sous forme de triptyques. 
Plusieurs thèmes se sont imposés: la culture, les paysages, l'histoire, la religion...et pour chacun d'entre eux, j'ai imaginé mon côté polonais, puis français et enfin un mix entre les deux, mon côté franco-polonais en quelque sorte,  comme cet exemple avec les oies:



                 
    Oies du Lot et Garonne     Oies à Przemysl      Migration

J'ai choisi délibérément des petits formats qui seraient faciles à transporter car l'idée a germé de suite: j'allais réaliser cette expo en Pologne, sur la terre natale de mes grands-parents. 
EN POLOGNE
Nous avions échangé par mail avec la responsable de la culture de Lubenia, les aquarelles et la collection de vêtements étaient déjà arrivées à bon port, tout était prêt, même les mannequins offerts par un de mes cousins pour l'occasion. Pourtant, en arrivant au village, j'ai été prise d'un énorme doute, surtout quand la responsable m'a demandé combien de personnes étaient attendues. J'ai compté sur les doigts: mes cousins, cousines...10? 12? J'ai perçu une inquiétude mais elle a souri, m'a dit que de son côté elle avait lancé l'info sous forme d'affiche:



Quand je suis arrivée dans la salle, j'ai très vite été rassurée. L'info avait bien circulé, de nombreuses personnes endimanchées s' étaient rassemblées et semblaient à la fois curieuses et ravies de ma démarche.  


http://galicjusz.pl/wydarzenia/Lubenia+Wystawa+%60Korzenie+i+przeznaczenie%60+Gminny+Osrodek+Kultury+Wystawy+kalendarium,/wydarzenia/event?ev_id=5007

DES TRIPTYQUES FRANCO POLONAIS

TRYPTYK FRANCUSKO POLSKI

LES AROMATES

 Dans le jardin de Zofia à Straszydle


 Aromates de notre jardin


 Imagier des petits fruits

(A la maison, 100 ans plus tard, certains fruits sont toujours désignés en polonais.)





LE TRAVAIL / LA VIEILLESSE



  Marché d'Agen 




    
  Marché à Zakopane 

                                              
Ma grand-mère au jardin



CORRESPONDANCES



 Quand j'écris à Zofia                       Quand Zofia m'écrit


LE VERNISSAGE


En pointant du doigt un vieux portrait de mes grands-parents, un historien de la région a rappelé le départ massif vers une France qui avait perdu ses hommes pendant la guerre 14/18.  Moi aussi, j'avais préparé un petit discours, je ne pensais pas être émue à ce point devant le public qui s'amusait sans doute de mon accent:


Witam wszystkich,
Po pierwsze chciałabym bardzo podziękować Pani Barć za  zorganizowanie wystawy moich prac w  tutejszym ośrodku kultury.
Cieszę się z zaproszenia  i możliwości spotkania ze wszystkimi tu obecnymi.
Ta wystawa to przegląd moich prac.
Obejmuje 8 tryptyków francusko - polskich.
Ona Bedzie pokazana za kilka miesięcy we Francji oraz w przyszłym roku w Instytucie Europejskim w Łodzi
Jej prezentacja we Francji Bedzie związana z publikacją mojej powieści o mojej babci , Zofii Kopiec która w młodości mieszkała w Straszydlu
W mojej twórczości staram się połączyć malarstwo, pisarstwo i projektowanie przedmiotów użytkowych.
To dlatego znajdziecie tu również ubiory inspirowane moimi akwarelami
Chciałabym aby wystawa ta była hołdem dla moich dziadków,
Jak wielu Polaków, mój dziadek , Walenty Raczakwyemigrował do pracy w kopalni w północnej Francji
Później moja babcia Zofia dołączyła do niego z dwójką małych dzieci , Ignacem i Stefcią , moją mamą
Snem , marzeniem moich dziadków było odłożyć trochę pieniędzy i powrót do  Straszydla aby otworzyć mały sklep we wsi
Ale to marzenie nigdy się nie ziściło.
Kiedy wreszcie moja rodzina  połączyła sie we Francji, mój dziadek zginął w wypadku w fabryce.
Miał tylko 35 lat.
Stąd tytuł wystawy , KORZENIE I PRZEZNACZENIE ,,

Stąd pomysł na tryptyk,  i stąd mój pseudonim artystyczny   HANIA RACZAK.


Le même en français...:



Bonjour à tous,

  Tout d’abord, je tiens à remercier Madame Barc qui a organisé cette exposition dans ce centre culturel Je suis ravie d’être accueillie dans cette salle pour vous faire partager mon travail.

Cette exposition est une avant première. Elle regroupe des aquarelles sous forme de 8  triptyques  franco -polonais. Elle sera visible en France dans quelques mois car elle est liée à la parution d’un roman qui est en préparation sur le destin de ma grand-mère, Zofia Kopiec.
Ma particularité en tant qu’artiste est de tisser des liens entre la peinture, l’écriture et le stylisme, vous trouverez ici une  présentation de vêtements inspirée par les aquarelles.

  J’ai voulu rendre hommage à travers cette exposition à mes grands-parents.  Comme de nombreux polonais, mon grand-père, Walenty Raczak est parti travailler dans le nord de la France. Plus tard, ma grand-mère Zofia l’a rejoint avec leurs deux enfants, Ignace et Stéphanie, ma mère. Le rêve de mes grands parents, c’était de gagner un peu d’argent et de revenir à Straszydle pour acheter une petite épicerie. Mais ce rêve n’a jamais pu se faire puisque une fois la petite famille enfin réunie en France, mon grand-père a été victime d’un accident d’usine et qu’il est décédé à 35 ans. D’où le titre de cette exposition «  racines et destin », d’où l’idée des triptyques franco polonais, qui sont présentés comme des souvenirs, des pensées,  et d’où mon pseudonyme Hania Raczak en souvenir de mon grand-père.


J’habite loin d’ici, dans le sud de la France, je ne parle pas parfaitement le polonais ( ce que je regrette !) mais  je suis  attachée à mes racines. Le village de Straszydle  a une place toute particulière dans mon cœur. C’est pourquoi je remercie toute ma famille, mes cousines, mes cousins pour leur présence ici, pour leur aide dans l’organisation et l’installation, et  tous ceux qui ont eu la gentillesse de venir.


Puis les langues se sont déliées autour d'un verre - non, vous vous trompez, pas de vodka mais du vin français- beaucoup de visiteurs me racontant l'immigration de certains membres de leur famille, en France ou aux Etats-Unis pendant que les grands-mères ( les "babcias" ...pour les polonisants...) , curieuses de savoir si je tenais la route en cuisine,  se pressaient pour me demander si je savais préparer les pierogis ( sortes de ravioles au fromage blanc pressé ...pour les non polonisants...). 


Quand, plus tard dans la soirée, autour d'un verre de thé, nous avons fait le bilan de cette journée, j'ai eu le temps de comprendre que OUI j'avais bien fait d'aller jusqu'au bout de ma démarche mais qu'un autre travail m'attendait encore: dès le lendemain matin, après une assiettée de barszcz préparée par ma cousine Zofia, je sortais un bloc-notes pour commencer à écrire l'histoire de mes grands-parents. 





" Mes grands-parents sont nés ici, ils ont immigré en France. J'aimerais vous raconter leur destin et ce que signifie être descendant d'immigré polonais en France " 


Toutes les aquarelles sont à retrouver sur ce portfolio:




8 commentaires:

  1. J'ai fini ton livre cette nuit, je n'ai pas pu le lâcher avant de l'avoir terminé ! C’est un livre prenant, sincère qu’on a envie de dévorer et je ne te cire pas les pompes par simple flatterie ! Mais un peu de parti pris quand même, je ne crois pas si j’aurai autant apprécié écrit par quelqu’un d’autre…il y a trop de choses qui me sont un peu familières quand c’est toi qui racontes. Merci pour ces bons moments de lecture passionnante. En conclusion, j’ai adoré même je crois si j’ai eu tendance à confondre roman et réalité…ça doit être parce-que c’est bien écrit et aussi parce que je suis dedans! Un grand merci de m’y avoir fait apparaitre auprès de ta famille et dans le rôle de l’ami en plus !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'ami à la 2CV fan d'Hergé... Avec le recul, je regrette le choix de la Deuche à l'effigie du lotus bleu, le capitaine Haddock me semble tellement plus proche de ton univers!
      Merci pour ton retour, à très bientôt dans ch'nord... en 2CV bien sûr!

      Supprimer
  2. Merci pour ce magnifique livre :vous nous plongez dans la vie de vos aïeux entre la Pologne et la France et l’écriture est pleine de vérité et d’émotion !

    C’est un bel hommage que vous leur rendez.

    J’ai adoré !


    RépondreSupprimer
  3. Un grand merci Sophie, je suis ravie que cette balade en Polonia vous ait plu, j'imagine que le prénom de Zofia a particulièrement résonné en vous durant votre lecture!

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour Anne,

    J’ai adoré votre roman !

    Grâce à votre récit, nous plongeons complètement dans la vie polonaise, nous prenant à imaginer les paysages, les « chata », les granges, le mode de vie là-bas, le foulard sur la tête, la rigueur des hivers, etc… Nous suivons l’histoire de Zofia et de sa famille, depuis la proposition de son institutrice à continuer l’école, tout au long de sa vie.

    En parallèle, il y a Marie, cette jeune fille qui prépare son bac à Toulouse et rejoint la maison familiale chaque week-end dans les Pyrénées. Nous la voyons évoluer avec ses doutes, ses envies de jeune fille et, tout comme elle, on attend chaque week-end avec impatience que sa maman continue de lui conter l’histoire de ses ascendants.

    « Zofia Racines et destin » est un roman à découvrir !

    Fabienne
    (Fabienne Lhoumeau, écrivain - https://sites.google.com/site/fabiennelhoumeau)

    RépondreSupprimer
  5. Merci Fabienne pour la délicatesse de votre lecture et votre commentaire bien agréable à lire!
    Cette jeune Marie, curieuse de ses racines, m'a permis d'évoquer la transmission familiale.
    Au-delà de sa curiosité, de ses inspirations slaves et de son évolution tout au long du roman, j'ai aimé lui faire porter en filigrane le même regard que Zofia et Walenty : lorsqu'elle fixe l'horizon ou la vitre d'un train par exemple, elle ressemble à s'y méprendre à ses aïeux... Mais ça, elle ne le saura jamais...

    RépondreSupprimer
  6. J'ai puisé un réel intérêt et un vif plaisir dans la lecture de "Zofia".
    La mise en parallèle des histoires de la bisaïeule et de son arrière-petite fille, vivante chimère, s'avère être un bon ressort romanesque qui tient le lecteur en haleine.
    La Pologne du début du XXème Siècle, l'exil de Zofia, de Walenty et de leurs enfants en France constituent une saga émouvante et riche d'enseignements.
    Sans doute pourrait-on y puiser quelques principes d'humanité à l'égard des migrants contemporains qui sont, comme leurs prédécesseurs, porteurs d'espoir pour l'avenir.
    L'histoire familiale était belle en elle-même. Merci Hania d'en avoir tiré un beau récit !
    Bernard Fainzang

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je devine l'esquisse de votre sourire lorsque vous avez commencé le roman : les deux héroïnes ont dû affronter une météo particulièrement agitée dès leur arrivée dans leur chapitre respectif, que ce soit à Toulouse ou à Straszydle...tout comme une certaine Anne lors d'une animation pédagogique consacrée au golf dans un roman précédent!
      Plus sérieusement, je suis très heureuse que Zofia ait su vous faire ainsi voyager dans tous les sens du terme et je suis ravie de vous avoir fait découvrir - certes de façon romancée- les études d'Arts Appliqués!

      Supprimer